Ce qui parle en moi n'en finit guère
Je souris de pitié sur moi-même
Je connais les douleurs de l'affaissement
Je me résigne sans bien discerner les formes
Je m'isole dans ma pensée muette
Je m'envole sur un pli de tristesse habituel
Comme le brouillard
Je refuse de me livrer
Comme la pluie
Je refuse de pleurer
Yannick Monrosé
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